Je me souviens…

Je me souviens… des chansons

Faisons un grand bon en arrière et revenons à 1940 / 1945 ;

Je me souviens… (faisons un peu d’histoire pour les plus jeunes) le 18 mai 1940, le maréchal Philippe Pétain était vice-président du Conseil des ministres , le 18 juin : il fut Président du Conseil, le 1er juillet 1940 : le gouvernement s’installa à Vichy, le 10 juillet 1940 : le maréchal devint , investi par l’assemblée nationale Chef de L’Etat Français.
Le 24 avril 1944, le Maréchal fut acclamé à Paris et c’est alors que nous chantions !

Je me souviens… qu’à cette époque, on chantait beaucoup, à de nombreuses occasions ; est-ce encore ainsi dans les écoles ou parmi les familles ? Hélas, je ne le crois pas, du moins je ne le constate plus et c’est dommage !

Je me souviens… de l’air : « Maréchal, nous voilà » , de « Semons le grain de la lumière », de « C’est nous les cadets de France », de « La France de demain », de « La France des jeunes », de « Ohe la vie, vive demain », de « Debout la France », de « La route de France », des cloches de France, de « Douce France » chantée par Charles Trénet, de « Mon église », et de « La France est belle, c’est si bon la France » : de tous ces chants patriotiques dont nous étions fiers. On parlait toujours de notre Patrie la France…
Aujourd’hui, hélas, on nous parle de « Maastricht », de l’Europe des 15, puis des 21 avec les Turcs !!! ??? dans le futur, nous ne saluerons plus le drapeau français et je pense à tout cela, à cet abandon, à ces vertus oubliées, avec grande amertumes…

Je me souviens… que le 8 mai 1945, l’Allemagne capitula, alors que maintenant, elle est prête à dominer l’Europe car notre pays n’a pas su conserver sa place !
le 15 août 1945 : le Maréchal Pétain est condamné à mort (un des grand crime de l’humanité, et l’une des plus grandes erreurs) et le 23 juillet 1951, il mourait en prison en la forteresse de l’île d’Yeu. Il était né le 24 avril 1856 à Cauchy à la Tour (Pas de Calais) où je me rends chaque année à la date anniversaire.

Je me souviens… s’allonge. J’ose espérer que vous n’avez pas trop éprouvé de lassitude en me lisant ?
Il est possible que je bafouille encore… vous verrez.

Méta